Alex, j'ai un remord :
La semaine dernière, je suis allé ploufer à Beaulieu. Atterrissages dans le champ de vaches en face, et sorties du champ par la barrière barbelée tout en haut.
L'ouverture de cette barrière était protégée par au moins 1 mètre de ronces et épineux... Pour l'atteindre, je me suis bien entendu éraflé les bras, et j'ai fini par dégager cette entrée au sécateur pour pouvoir ouvrir la barrière sans se foutre dans les ronces.
Voilà, je préfère te le dire. Il ne reste plus que 5 pieds d'épineux nus que je n'ai pas pu retirer avec mon petit sécateur.
Les questions sont :
- on laisse comme ça car je n'aurais jamais dû toucher ?
- ou je peux virer le reste des 5 pieds pour faire propre et bien accéder à l'ouverture de la barrière ?
Sinon, j'ai aussi passé 2 heures à virer les ronces au sécateur sur le déco : si j'avais vu qu'il y avait des pieds de rosiers sauvages tondus à 10 cm du sol, bien durs et bien pointus, je n'aurais jamais fait de gonflage à Beaulieu.
Ces pieds d'églantiers sont les menaces les pires pour nos ailes, on ne les voit que si l'on a le nez dessus. A mon avis, il faut au pire les couper à raz, au mieux, déterrer les racines.
Et je serai là le 1er avril, je rentre finalement d'Annecy le 30.